4/4/2014
Projet LRA pour la localisation et la réalité augmentée
SystemX, unique IRT en Ile-de-France dédié à l’ingénierie numérique des systèmes du futur, développe de nouvelles expertises de logiciel critique et d’usage dans le domaine de la localisation et de la réalité augmentée avec le projet LRA. Ce projet s’adresse aux secteurs de l’Automobile, pour le développement du véhicule autonome et connecté, et du Ferroviaire, dans les évolutions des solutions de signalisation, dans un contexte où l‘on observe une évolution majeure des technologies de localisation et des interactions conducteur / véhicule / environnement avec l’automatisation de la conduite d’un véhicule de transport.
« La localisation pour le guidage est aujourd'hui en grande partie réalisée par le GPS, pour l’automobile, et pour le ferroviaire, par des capteurs coûteux et sensibles à l’environnement. Par ailleurs, de nouvelles modalités d’aide à la conduite telles que le fonctionnement de la voiture en mode autonome (mode qui permet au conducteur de déléguer la conduite au véhicule) nécessitent de repenser l’interaction homme-machine, » explique François Stephan, Directeur de Programme Systèmes de Systèmes, IRT SystemX. « L’objectif du projet LRA est d’apporter au conducteur un système de localisation en rupture et d’enrichir les possibilités d’interaction du conducteur avec son véhicule grâce à la réalité augmentée. ».
Le projet LRA va identifier et tester des technologies destinées à être intégrées dans le véhicule automobile proposant un mode autonome, véhicule qui arrivera sur le marché au début des années 2020. Les conducteurs ne pourront utiliser le mode autonome en toute sérénité que s’ils en comprennent le fonctionnement. Des interfaces de réalité augmentée pourraient permettre aux conducteurs de mieux accepter et utiliser ce mode. Le projet s’attachera plus particulièrement à la délégation de conduite sur autoroute / voie rapide (voie prioritaire) avec plusieurs configurations de vitesse, en particulier la situation de bouchon et celle de trafic fluide. Il s’agira donc d’autonomie partielle et ciblée du véhicule grâce à la mise en place d’un logiciel superviseur de conduite intégré dans l’automobile.
Dans ce cas de figure, la Réalité Augmentée présente un véritable intérêt ergonomique pour le véhicule autonome car elle devrait permettre notamment de donner au conducteur une meilleure conscience de la situation qui l’aidera à avoir une réactivité adéquate en cas de reprise en main du véhicule. On note que plusieurs technologies de Réalité Augmentée sont utilisées dans le projet, notamment : la surface d’affichage en vision « tête haute » (HUD - Head-up display) progressivement élargie pour une meilleure optimisation des informations.
Ce projet de 36 mois est suivi par un partenaire académique, le CEA List, et par des partenaires industriels : Alstom Transport, M3 Systems, Oktal, Renault, Safe-River, SysNav, Valeo.
« La localisation pour le guidage est aujourd'hui en grande partie réalisée par le GPS, pour l’automobile, et pour le ferroviaire, par des capteurs coûteux et sensibles à l’environnement. Par ailleurs, de nouvelles modalités d’aide à la conduite telles que le fonctionnement de la voiture en mode autonome (mode qui permet au conducteur de déléguer la conduite au véhicule) nécessitent de repenser l’interaction homme-machine, » explique François Stephan, Directeur de Programme Systèmes de Systèmes, IRT SystemX. « L’objectif du projet LRA est d’apporter au conducteur un système de localisation en rupture et d’enrichir les possibilités d’interaction du conducteur avec son véhicule grâce à la réalité augmentée. ».
L’enjeu technologique du projet repose sur une complexité croissante des systèmes de localisation et d’aide à la conduite, avec l’émergence de nouvelles technologies de capteurs et d’IHM (Interface Homme Machine) et à un moindre coût.
Le projet LRA va identifier et tester des technologies destinées à être intégrées dans le véhicule automobile proposant un mode autonome, véhicule qui arrivera sur le marché au début des années 2020. Les conducteurs ne pourront utiliser le mode autonome en toute sérénité que s’ils en comprennent le fonctionnement. Des interfaces de réalité augmentée pourraient permettre aux conducteurs de mieux accepter et utiliser ce mode. Le projet s’attachera plus particulièrement à la délégation de conduite sur autoroute / voie rapide (voie prioritaire) avec plusieurs configurations de vitesse, en particulier la situation de bouchon et celle de trafic fluide. Il s’agira donc d’autonomie partielle et ciblée du véhicule grâce à la mise en place d’un logiciel superviseur de conduite intégré dans l’automobile.
Dans ce cas de figure, la Réalité Augmentée présente un véritable intérêt ergonomique pour le véhicule autonome car elle devrait permettre notamment de donner au conducteur une meilleure conscience de la situation qui l’aidera à avoir une réactivité adéquate en cas de reprise en main du véhicule. On note que plusieurs technologies de Réalité Augmentée sont utilisées dans le projet, notamment : la surface d’affichage en vision « tête haute » (HUD - Head-up display) progressivement élargie pour une meilleure optimisation des informations.
Ce projet de 36 mois est suivi par un partenaire académique, le CEA List, et par des partenaires industriels : Alstom Transport, M3 Systems, Oktal, Renault, Safe-River, SysNav, Valeo.