10/11/2023
OPTYM’HA lance officiellement sa nouvelle activité de régénération de batteries au plomb : OPTYM’WO
Engagée pour et dans le respect de l’environnement depuis l’origine, l’entreprise iséroise OPTYM-HA propose désormais une nouvelle solution visant à régénérer les batteries au plomb destinées à être détruites : OPTYM’WO.
LEADER FRANÇAIS DU NETTOYAGE DE FILTRES À PARTICULES
En presque 20 ans, OPTYM-HA est devenue leader dans le nettoyage de filtres à particules (FAP)* et l’expertise de l’échappement pour les véhicules professionnels type bus, cars, poids lourds et autres engins de travaux publics ou agricoles. Avec plus de 75 000 pièces traitées, elle travaille pour les plus grandes sociétés de transport françaises et son activité ne cesse de croître.
En effet, même si le marché du diesel connaît de grands bouleversements et controverses, il reste inévitable d’entretenir les engins de transport en circulation, pour répondre efficacement aux normes environnementales. Un projet de loi de la Commission Européenne présenté en début d’année propose d’ailleurs une interdiction de tout nouveau camion diesel, en 2040 au plus tôt, voire pas du tout, les camions électriques et à hydrogène ne répondant pas encore aux problématiques du secteur.
Fabien Sikirdji, dirigeant fondateur, revient sur le parcours de l’entreprise : « Le dieselgate, plus grand scandale industriel de l'histoire automobile de ces dernières années, a banni le diesel des esprits. Du jour au lendemain, il faudrait avoir un parc de véhicules 100 % électriques ! Or, pour les collectivités locales par exemple, même si les achats sont dorénavant orientés sur l’électrique, le parc de bus existant doit être entretenu. Et dans ce cas, il faut également avoir une démarche respectueuse de l’environnement, et faire durer les véhicules en circulation, en entretenant leurs pièces. C’est ce que nous faisons chez OPTYM-HA avec le remanufacturing d’échappement, le nettoyage et le contrôle des FAP. Aujourd’hui, ce sont plus de 8 000 pièces traitées chaque année. »
En effet, même si le marché du diesel connaît de grands bouleversements et controverses, il reste inévitable d’entretenir les engins de transport en circulation, pour répondre efficacement aux normes environnementales. Un projet de loi de la Commission Européenne présenté en début d’année propose d’ailleurs une interdiction de tout nouveau camion diesel, en 2040 au plus tôt, voire pas du tout, les camions électriques et à hydrogène ne répondant pas encore aux problématiques du secteur.
Fabien Sikirdji, dirigeant fondateur, revient sur le parcours de l’entreprise : « Le dieselgate, plus grand scandale industriel de l'histoire automobile de ces dernières années, a banni le diesel des esprits. Du jour au lendemain, il faudrait avoir un parc de véhicules 100 % électriques ! Or, pour les collectivités locales par exemple, même si les achats sont dorénavant orientés sur l’électrique, le parc de bus existant doit être entretenu. Et dans ce cas, il faut également avoir une démarche respectueuse de l’environnement, et faire durer les véhicules en circulation, en entretenant leurs pièces. C’est ce que nous faisons chez OPTYM-HA avec le remanufacturing d’échappement, le nettoyage et le contrôle des FAP. Aujourd’hui, ce sont plus de 8 000 pièces traitées chaque année. »
Au fil des années, OPTYM-HA a su s’imposer auprès des transporteurs nationaux (Keolis, Transdev, RATP notamment) ainsi que de nombreux distributeurs et concessions poids lourds, engins de travaux publics et voiries, et entreprises de transport routier ; plus de 750 clients au total.
Avec une croissance de 30 % l’an dernier, OPTYM-HA a souhaité diversifier sa gamme de prestations pour répondre à la demande du marché et au-delà.
Avec une croissance de 30 % l’an dernier, OPTYM-HA a souhaité diversifier sa gamme de prestations pour répondre à la demande du marché et au-delà.
OPTYM’WO : UNE NOUVELLE ACTIVITÉ ENGAGÉE DANS L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Engagée depuis toujours, OPTYM-HA contribue, par son expertise, à l’amélioration et la préservation de la qualité de l’air. Pour poursuivre cette politique d’économie circulaire, l’entreprise a développé, en partenariat avec la société Be Energy, une nouvelle activité de régénération de batteries au plomb Dans l’objectif d’étendre la durée de vie des batteries, ce nouveau procédé breveté consiste à envoyer des impulsions électriques de forte puissance et durant une courte durée, afin de casser les cristaux de sulfate de plomb à l’intérieur des batteries. « C’est une solution qui est 50 à 70 fois moins carbonée » précise Bertrand Coste, président de Be Energy. « Nous avons été déclarés 89 % moins impactant pour le climat par l’auditeur de l’ONU. Une tonne de batterie régénérée économise trois tonnes de CO2 par rapport au recyclage. »
Toutes les batteries ne pourront pas être régénérées ; 40 à 60 % le peuvent. Le traitement de régénération varie de douze heures à trois jours selon le type de batterie. Cette nouvelle activité est destinée prioritairement aux clients actuels d’OPTYM-HA mais
sera également proposée à de nouveaux marchés tels que les chariots élévateurs qui peuvent utilisés par des plateformes de livraison ou des entrepôts. Pour rester cohérent avec son positionnement, OPTYM-HA va cibler prioritairement les acteurs locaux, limitant ainsi le transport des batteries à régénérer ou des équipes.
Engagée depuis toujours, OPTYM-HA contribue, par son expertise, à l’amélioration et la préservation de la qualité de l’air. Pour poursuivre cette politique d’économie circulaire, l’entreprise a développé, en partenariat avec la société Be Energy, une nouvelle activité de régénération de batteries au plomb Dans l’objectif d’étendre la durée de vie des batteries, ce nouveau procédé breveté consiste à envoyer des impulsions électriques de forte puissance et durant une courte durée, afin de casser les cristaux de sulfate de plomb à l’intérieur des batteries. « C’est une solution qui est 50 à 70 fois moins carbonée » précise Bertrand Coste, président de Be Energy. « Nous avons été déclarés 89 % moins impactant pour le climat par l’auditeur de l’ONU. Une tonne de batterie régénérée économise trois tonnes de CO2 par rapport au recyclage. »
Toutes les batteries ne pourront pas être régénérées ; 40 à 60 % le peuvent. Le traitement de régénération varie de douze heures à trois jours selon le type de batterie. Cette nouvelle activité est destinée prioritairement aux clients actuels d’OPTYM-HA mais
sera également proposée à de nouveaux marchés tels que les chariots élévateurs qui peuvent utilisés par des plateformes de livraison ou des entrepôts. Pour rester cohérent avec son positionnement, OPTYM-HA va cibler prioritairement les acteurs locaux, limitant ainsi le transport des batteries à régénérer ou des équipes.
« Nous avons investi plus de 2,5 millions d’euros dans ce projet, avec de nouvelles machines, des formations pour nos salariés, et un nouveau bâtiment de 2 000 m2. » précise Fabien Sikirdji. « Le développement de cette nouvelle activité est une priorité pour les années à venir. Cela souligne notre engagement environnemental fort, pour nous comme pour nos clients, que nous accompagnons ainsi dans leur propre politique RSE en proposant des solutions plus responsables. D’ici 2 ans, nous espérons avoir une équipe dédiée de 4 collaborateurs minimum pour un CA de 2 M€.
Source : OPTYM-HA
